L' ÉTUDE MONDIALE SUR L'AMOUR DE SOI
Le Self Love Index a été réalisé dans 21 pays en collaboration avec l'institut Ipsos entre novembre et décembre 2020. Plus de 22 000 personnes âgées de plus de 18 ans ont été interrogées. Cette étude est la première étude en son genre qui a pour but de sensibiliser la société sur la problématique de l’amour de soi. Elle met en lumière différents aspects de l’amour de soi, y compris la perception de soi-même, la fréquence à laquelle une personne ressent des émotions comme la nervosité ou l’anxiété, la confiance en soi, la résilience (la capacité à gérer les les chocs traumatiques) et les différents facteurs favorables à l’estime de soi.
Voici ce que nous avons appris sur l'amour de soi grâce à notre étude mondiale unique.
Les chiffres clés de notre étude mondiale de l'amour de soi

Estime de soi
6 personnes sur 10 à travers le monde souhaiteraient éprouver plus de respect envers elles-mêmes.

GÉnÉration Z
Plus de 4 personnes sur 10 de la génération Z font partie de la catégorie la plus faible pour ce qui est de l’amour de soi.

médias sociaux
Près d’un tiers des utilisateurs qui naviguent sur les médias sociaux plus de deux heures par jour présente les résultats les plus faibles sur l’Indice mondial de l’amour de soi de The Body Shop.
Quels facteurs personnels affectent l'amour de soi?

L’AMOUR DE SOI À TRAVERS LA PLANÈTE
Le Danemark et l'Australie enregistrent les résultats les plus élevés avec un indice de 62. La Corée du Sud avec un indice de 45, la France et l'Arabie saoudite avec un indice de 48 obtiennent les résultats les plus faibles en termes d'amour de soi.

L’AMOUR DE SOI ET LES SEXES
Les femmes signalent se sentir plus nerveuses, anxieuses et déprimées que les hommes, en plus d’accorder plus d’importance à leur corps. La communauté LGBTQ+ a tendance à présenter un niveau plus faible d’amour de soi que les personnes qui s’identifient comme cisgenres et (ou) hétérosexuelles.

L’AMOUR DE SOI ET L’ÂGE
Les femmes âgées de plus de 25 ans expriment plus d’amour envers elles-mêmes que celles de la génération Z. Les personnes de la génération Z sont deux à trois fois plus susceptibles que leurs homologues de la génération du baby-boom de se classer dans le groupe où l’amour de soi est le plus faible.

L’AMOUR DE SOI ET L’AUTONOMISATION
Plus de 7 personnes sur 10 ont indiqué qu’elles se remettaient rapidement sur pied après des moments difficiles. La résilience est liée à l’amour de soi : plus une personne obtient un résultat élevé sur l’Indice mondial de l’amour de soi de The Body Shop, plus elle est susceptible de mentionner qu’elle se remet rapidement.
Quels facteurs sociaux affectent l'amour de soi?

L’AMOUR DE SOI ET LES MÉDIAS
Les personnes qui naviguent beaucoup sur les médias sociaux présentent un niveau d’amour de soi plus faible : près d’un tiers des utilisateurs qui naviguent sur les médias sociaux plus de deux heures par jour présente les résultats les plus faibles sur l’Indice mondial de l’amour de soi de The Body Shop comparativement à seulement une personne sur cinq qui ne va pas sur les médias sociaux. De manière généralisée, les personnes indiquent que les influenceurs dans les médias sociaux, les célébrités et les mannequins dans les publicités contribuent le plus au faible niveau d'estime de soi.

L’AMOUR DE SOI ET L’INDUSTRIE DE LA BEAUTÉ
À l’échelle mondiale, la majorité des personnes croient que l’industrie de la beauté peut avoir des impacts négatifs sur la confiance en soi. Parmi celles exprimant cette opinion, la plupart considère que ces impacts négatifs découlent de l’utilisation d’images aérographées ou photoshoppées et de promesses irréalistes. Bien que les femmes plus jeunes considèrent le manque de diversité dans la publicité comme un important impact négatif dans l’industrie de la beauté, les femmes plus âgées sont moins enclines à penser que c’est un problème important.